Test Jeu : Football Manager

DÉVELOPPEUR :
Sports Interactive
ÉDITEUR :
SEGA
ANNÉE DE SORTIE :
2005
PLATEFORME :
PC Windows, MacOS, Linux, iOS, Android, Mac OS Classic
LANGUES :

PRIX :
59,99€

À propos de l’éditeur :

Sports Interactive est le premier développeur mondial de simulations de gestion sportive à travers ses séries Football Manager et Eastside Hockey Manager.
Fondée en 1994 et basée dans le quartier de Stratford à Londres, SI dispose d’un studio florissant, diversifié et en constante expansion, avec plus de 170 employés à temps plein et environ 1 300 chercheurs à temps partiel à travers le monde. SI est devenue une filiale à part entière de SEGA en 2006.

Résumé :

Le football ne consiste pas uniquement à être le meilleur et à gagner. Il consiste également à surmonter tous les obstacles, réaliser vos rêves et grappiller les succès. Se battre pour atteindre les sommets et surprendre le monde entier ou lutter pour sortir de la zone rouge, ces moments sont les plus gratifiants.

Vous êtes le maître du vestiaire.

Mon avis :

Mon amour pour le foot n’a d’égale que l’amour que j’ai pour les livres et les films de Fantasy et d’Horreur. Un lien quelconque ? Absolument aucun. Sauf si ce n’est de vouloir faire la même chose. Je m’explique…
En effet, au niveau de la littérature, j’ai souhaité faire comme ceux que je lisais, écrire et être publié, ce qui s’est en partie réalisé (3 nouvelles publiées, mais pas encore de romans).
Pour le football, c’est la même chose. J’aurai tellement souhaité avoir un job dans ce milieu, ou ne serait-ce qu’un stage (combien de fois j’ai postulé pour un stage non rémunéré dans le nouveau stade de Lille, le stade Pierre Mauroy flambant neuf à l’époque, ou Au Cannonier de Mouscron en événementiel ou n’importe quoi d’autre, tant que ça avait un lien avec le foot). Pour le coup, rien n’a jamais vraiment aboutit vu qu’hormis les stages (que je n’ai jamais eu), je n’ai rien tenté d’autre (adieu les voyages tous frais payés en tant que recruteur à travers le monde pour trouver les pépites de demain, d’être agent de joueur et signer des contrats juteux et peu scrupuleux…).
MAIS… mais il nous reste malgré tout un moyen bien plus simple et beaucoup plus sécurisé pour atteindre ces objectifs, même virtuels, j’ai nommé le jeu de simulation le plus complet à ce jour et numéro un dans son genre et dans sa catégorie : Football Manager !

Du rêve… à la virtualité…

Bon sang ! S’il y a bien un jeu qui aura engloutit une partie de mon existence, c’est bien Football Manager. Consommateur de la licence depuis 2006, j’ai poncé chaque jeu comme si c’était le dernier (je dépasse largement les 500h de jeu par an sur chaque opus). Ce bijou offre tellement de possibilités, d’histoires à créer, donne la possibilité à l’utilisateur de totalement s’immerger dans la peau d’un entraîneur et de s’y croire, tout simplement. En fait, le concept colle tellement à la peau qu’il fait partie intégrante de la vie du consommateur. Combien de joueurs de FM ont composé leur tactique en salle de réunion ou pendant les cours, combien ont fouillé tout le web à la recherche des stars du ballon rond de demain, combien ont vu leur femme les quitter du jour au lendemain sans même qu’ils s’en aperçoivent, combien… Ahem… pardon, je ne sais pas si ce dernier point est forcément exact mais ce qui est certain, c’est qu’il y a peu de jeux qui m’ont rendu aussi accro. Personnellement, sur l’opus 2007 il me semble, j’étais tellement à fond sur ma partie avec l’Excelsior de Mouscron et l’équipe nationale belge que je n’arrivais plus à distinguer la différence entre mon club du jeu et le club dans la réalité. Heureusement, j’ai fait une cure et depuis, tout va mieux (je ris mais j’avoue que ça m’a un peu inquiété à l’époque).

Football Manager est donc le successeur du jeu « L’Entraîneur » (ou en version originale : Championship Manager). Jusqu’à 2009 si je me rappelle bien, le jeu proposait les matchs en 2D (ce qui est encore possible à l’heure actuelle ou pour les versions mobiles), mais la 3D a définitivement conquis un public qui hésitait très souvent entre FM et LFP Manager (ce dernier ne résistant encore que quelques années avant de disparaître de la circulation). Pour l’anecdote, une poignée d’acharnés ont continué à travailler sur le jeu LFP Manager et permettent aujourd’hui aux nostalgiques de reprendre l’expérience, quelques vidéos Youtube devraient pouvoir vous expliquer comment vous le procurer avec les mises à jour actuelles. Beaucoup de possibilités présentent dans LFP manquent à FM comme la création d’académies dans des pays étrangers, ou la gestion du prix des billets ou des produits dérivés, mais est-ce que ces éléments font vraiment partie des attributions d’un coach ? C’est discutable, même s’il est vrai qu’au-delà du concept purement sportif et analyse de données, le côté humain aurait largement pu être revu surtout lorsque l’on observe ce qui se passe dans le football moderne (l’arrivée de Xavi au FC Barcelone en 2021 après l’éviction de Koeman et la mise en place d’une charte à suivre pour tout le groupe dans leur quotidien est un bel exemple de ce qui pourrait être amélioré, ou alors des situations extra sportives à gérer comme le cas de certains joueurs comme Neymar, si vous avez une star dans l’équipe pouvoir discuter avec ses agents sur le marketing et l’image du joueur et donc du club…).

Le côté humain, un aspect qui doit avoir plus d’importance. Demandez à Mourinho…

On parle ici d’un jeu à la durée de vie illimitée. Vous pouvez démarrer en 2022 et très bien continuer votre carrière jusqu’en 3894 si vous avez votre vie à perdre et des records mondiaux à battre. Personnellement, lorsque mon ordinateur a la puissance nécessaire, j’aime bien « simuler » en laissant le jeu tourner pour voir dans plusieurs décennies (ou siècles si le PC le supporte) si les grands clubs d’aujourd’hui le sont toujours plus tard ou si des clubs plus obscurs ont pris la place. Il ne faut parfois pas longtemps avant que des clubs issus des divisions inférieures ne débarquent, galvanisés et gonflés d’argent par leurs nouveaux Sugar Daddy de propriétaires (si un club perse, c’est généralement parce qu’un nouveau proprio plein de tunes a débarqué, ce qui est dommage mais c’est ainsi que va le football aujourd’hui). Ainsi, des clubs comme Tenerife en Espagne, Westerlo ou Lommel en Belgique ou encore le Paris FC en France sont devenus les champions indétrônables de leurs championnats respectifs, Liverpool et Manchester United ont connus les affres de la descente jusqu’en 4ème division, tandis que le Grasschopper de Zurich est un club habitué à gagner la Champion’s League. Ces clubs sont sortis du lot mais si je relançais une partie, ça serait certainement d’autres clubs. Une partie n’est jamais la même.

Oui, j’en ai passé du temps sur les FM, j’en ai perdu du temps dans ma vie, mais quel plaisir ❤

Lorsque je ne laisse pas le jeu tourner, je créée une nouvelle sauvegarde et j’avais généralement l’habitude de prendre l’Excel Mouscron, club de ma ville natale à l’histoire tumultueuse et qui offrait un bon challenge de départ avec un partenariat intéressant avec le LOSC. Mais depuis 2 ans maintenant, le club a, de nouveau, disparu et il faudra sans doute attendre quelques années avant que le club renaissance de ses cendres et puisse être à nouveau jouable sur FM. Depuis maintenant quelques années, j’aime bien créer une save dite « Journeyman », c’est-à-dire démarrer sans diplôme et sans expérience du football (un peu comme dans la vraie vie en somme) et postuler dans les plus basses divisions de pays obscurs et peu connus du grand public pour ensuite augmenter en réputation pour atteindre pas à pas les sommets du foot mondial. Des créateurs de contenus ont permis à de nombreux joueurs de tester des championnats qui n’existent pas dans la base de données initiale et ce genre d’ajouts permet une expérience plus réaliste et surtout beaucoup large. Vous pouvez donc très bien devenir le roi des entraîneurs des îles Fidji pour ensuite tomber dans les tréfonds des petites divisions au Mexique et finalement continuer votre périple par un petit tour des clubs en Scandinavie. Les possibilités, tout comme la durée de vie, sont infinies. Personnellement, j’ai découvert beaucoup d’endroits grâce à ce jeu, car dès que je choisis un club, j’aime bien aller sur le web découvrir l’histoire de la ville, l’historique des clubs dans lesquels je pose mes bagages, c’est mon côté agent touristique qui prend le dessus et il y a des endroits sympas du côté de l’Autriche, de l’Ecosse et de République Tchèque que j’aimerai bien découvrir suite à ces expériences (entre autres). Ce qui est drôle c’est que dans le jeu, dès que tu changes de pays, tu en apprends la langue, ce qui fait que dans une partie, je parlais couramment onze langues alors qu’en réalité je peine à en maîtriser trois, mais je trouvais l’anecdote sympa.

Une expérience sportive, mais aussi culturelle.

Beaucoup de joueurs, pour pimenter leur expérience, s’imposent des contraintes comme ne recruter des joueurs que d’un certain âge, d’une certaine région, ne jouer qu’avec les jeunes qui « popent » du centre de formation (appelé plus communément Lifeban, donc sans mercato) … Il y a de vrais challenges à se mettre sous la dent pour tester ses capacités d’adaptation et mettre sa patience à rude épreuve. Personnellement, je m’impose en début de partie de ne démarrer qu’avec un club semi-professionnel et une étoile maximum (commencer avec un club pro alors que t’as aucun diplôme, ce n’est pas hyper réaliste je trouve), et dès que je souhaite changer de club, n’en prendre un qui ne possède qu’une étoile de réputation en plus que moi pour que cela reste le plus réaliste possible. Ce sont ces challenges qui détermineront votre niveau de difficulté. Car en effet, il n’y a pas de niveau de difficulté dans le jeu. Si vous prenez le PSG ou Manchester City, il sera naturellement beaucoup plus facile de devenir top mondial et y rester des décennies durant alors que si vous partez en D2 islandaise, le challenge sera d’une toute autre nature, avec un championnat aux règles complètement différentes et où il faudra s’adapter à ces contraintes en plus de celles liées aux finances ou à la réputation du club.

Le jeu arrive gratuitement sur Netflix pour ceux qui ont un abonnement à la platerforme.

Car oui, FM n’est pas FIFA (aujourd’hui EA Sport FC). Là où PES (aujourd’hui Efootball) et son rival vous mettent dans la peau d’une équipe ou d’un joueur à contrôler en temps réel, FM vous plonge vraiment dans la peau de l’entraîneur. C’est-à-dire que ce n’est pas vous qui contrôlez les joueurs. Vous aurez un paquet de choses à gérer comme votre staff, les contrats des joueurs, faire des demandes aux dirigeants pour améliorer la situation du club, vous occuper de l’équipe de recrutement, négocier avec les clubs pour les transferts, mettre en place la tactique qui vous fera gagner votre prochain match (et en prévoir une deuxième car oui, à force, l’intelligence artificielle s’adapte à votre jeu), gérer les remplacements en cours de match et les causeries au bord du terrain… bref, vous êtes le boss de votre équipe mais une fois les joueurs sur le terrain vous ne pouvez qu’espérer que les consignes misent en place et que l’entraînement de la semaine soient efficaces (et que la chance ne joue pas contre vous également). Entre vos objectifs personnels, les attentes des dirigeants, du public, en plus des exigences salariales ou de temps de jeu de vos joueurs, éviter que les gros clubs viennent piller votre équipe qui tourne bien et maintenir la cohésion du groupe alors que vos joueurs veulent partir par appât du gain ou ambitions démesurées, la bataille pour la réussite de votre club, et de votre carrière, se fera aussi bien sur le terrain qu’en coulisse.

Le mode en ligne vous permet également de jouer dans une même partie que vos amis, tandis qu’il existe des fonctionnalités où vous pouvez créer votre propre club et le faire monter jusqu’au sommet. Et pour terminer, l’éditeur du jeu vous permet de modifier n’importe quelle facette de l’expérience (aussi bien les informations, le budget ou la réputation d’un club, les attributs des joueurs ou des staffs, les règles de compétition, le niveau des structures…) et réaliser des expériences complètement folles.

Chaque nouvelle partie est une nouvelle histoire qui s’écrit.

Autre anecdote, certains joueurs acharnés de FM depuis des années ont été contactés par de petits clubs de leur région et les aide, à leur échelle, notamment au niveau du recrutement. Il faut savoir que de plus en plus de clubs professionnels se tournent vers la base de données du jeu pour mettre en place leur mercato tandis que l’Esport, qui tend à se populariser et à devenir de plus en plus une vraie discipline, commence à toucher FM. Et qui sait, il sera peut-être un jour possible d’assister à une Coupe du Monde FM si le jeu optimise son côté multijoueur. L’on pense également à l’histoire de l’entraîneur actuel de Reims (Will Still en 2023 au moment où j’écris) qui est un acharné du jeu et qui est devenu entraîneur très jeune et coach actuellement une équipe de première division française alors qu’il est sans diplôme (quand on passe du virtuel à la réalité).

Après, la licence n’est pas sans défaut et certains opus sont mieux travaillés que d’autres. Le passage du 2022 au 2023 a d’ailleurs suscité beaucoup de polémiques de la part des afficionados car il y avait peu de changements et repayer un jeu complet chaque année est malgré tout une somme à investir pour certains. Personnellement, je fais un an sur deux et bien m’en a pris car 2023 n’a pas été un bon cru. Les conférences de presse sont aux fraises, la façon de gérer une équipe nationale est mis sur le côté et la logique fout le camp lors des transferts. Finissons avec un moteur graphique qui commence à lasser de nombreux joueurs pour son manque d’évolution et un système tactique qui laisse à désirer (surtout quand on parle des coups de pieds arrêtés). Je regrette également l’aspect mental, peu présent dans le jeu ou alors pas logique du tout, qui a pourtant tellement d’importance dans la vie réelle, car il y a des entraîneurs qui ne communiquent pas du tout avec les joueurs tandis que d’autres sont de véritables inspirations pour des garçons qui, après avoir côtoyé un entraîneur spécifique, sont devenus des stars ou, à l’inverse, sont tombé en disgrâce.

Avenir prometteur

Maintenant, l’opus 2024 a été dévoilé et les créateurs semblent avoir écouté les joueurs et ont apporté de nombreux changements, qu’il s’agisse du moteur graphique, sur les tactiques, sur les transferts, bref, de nombreux éléments ont été modifiés et les retours sont pour l’instant très positifs. J’ai hâte de me le procurer et voir jusqu’où ils ont repoussé les limites. Pour fêter les 20 ans de la licence, il fallait au moins ça !

À noter que pour l’opus 2025, changement de moteur graphique avec un passage par le moteur Unity qui devrait sonner comme une révolution visuelle, ainsi que l’incorporation du football féminin pour la première fois dans FM. Bref, les années à venir sont prometteuses et semblent annoncer des centaines (voire des milliers) d’heures de vie perdues supplémentaires.

Si vous souhaitez en voir plus sur le gameplay ou ce qui est possible de faire avec FM, je vous recommande les chaînes Youtube d’Alex Benito, Arthur Ray ou encore Expérience Foot (et pour les bilingues anglophones, Zealand est probablement la référence).

La gloire est au bout du tunnel !

Conclusion

Un professeur m’avait un jour demandé pourquoi j’appréciais autant les jeux vidéo, je lui avais répondu qu’ils me permettaient d’être quelqu’un d’autre que je ne serai jamais. Et FM m’a offert cette possibilité avec le football depuis 2006. Devenir entraîneur de football, mettre en place une tactique, prospecter dans différents pays, négocier des contrats avec des joueurs, répondre aux interviews, donner la chance à des jeunes de devenir de futures stars, et surtout, pouvoir mener au sommet le club que l’on entraîne. Alors, certes, tout ceci n’est que fictif, mais il apporte une satisfaction peu commune dans le monde du jeu vidéo. Un jeu mélangeant stratégie, de la simulation extrêmement poussée mais également un côté sportif (même si ce n’est pas nous qui allons être sur le terrain). Chaque joueur aura sa propre histoire et personne n’aura la même partie ou ne jouera de la même manière. Tandis que de grosses licences comme FIFA ont tendance à s’essouffler au bout d’un moment, à FM il n’y a pratiquement jamais de temps mort et dépasser les 1000 heures de jeu sur un seul opus en un an est plus courant qu’on ne le pense. Bref, si vous aimez le foot et la gestion, cette licence est faite pour vous !

Les + :

  • Un temps de jeu illimité.
  • Projection de soi.
  • Ajouts additionnels pour plus de réalisme grâce à la communauté (jouer à St-Marin, ça n’a pas de prix).
  • Développement de connaissances dans le monde du foot (règles propres aux championnats, pépites de demain…).
  • Satisfaction quand la réalité rejoint la fiction.
  • Meilleur jeu de simulation sportif ever !
  • Un futur qui s’annonce prometteur.

Les – :

  • Repayer un jeu chaque année pour quelques améliorations généralement, mais 2024 et 2025 changent la donne.
  • Booster la gestion humaine.
  • Pouvoir donner son avis sur la gestion du stade ou du merchandising ou encore l’extra sportif de manière plus globale (juste donner son avis et essayer de convaincre les présidents sans garantie de succès).
  • Impression que certains matchs sont scriptés.
  • Attention à l’addiction.

HEURES DE JEU AVANT PUBLICATION
Trop…
NOTE
9/10
CONFIGURATIONS REQUISES

Pour terminer cet article, veuillez trouver tous les clubs et nations que j’ai pu entraîner depuis que j’ai démarré la licence en 2006 :

  • Allemagne : FC Ingolstadt 04 (D3), Greuther Fürth (D2)
  • Angleterre : West Ham (D1), Bournemouth (D2), MK Dons (D2), Peterborough (D3), Southend (D5), St-Albans (D6), Kidderminster Harries (D6), Chesham United (D7), Morpeth (D7), Peterborough Sports (D7), Horsham FC (D7)
  • Arabie Saoudite : Al Ittihad (D1)
  • Australie : Sutherland Sharks (D2)
  • Autriche : Hartberg (D2), Altach (D1)
  • Azerbaïdjan : FK Qabala (D1)
  • Belgique : Excel Mouscron (D1, 2 et 3), Standard de Liège (D1), Anderlecht (D1), White Star Brussels (D2), St-Niklaas (D3), Bocholt (D3) (et d’autres dont je n’ai plus souvenir)
  • Brésil : Bahia (D1)
  • Chine : Liaoning (D2)
  • Croatie : Slaven Belupo (D1)
  • Danemark : FC Copenhague (D1), IF Lyseng Football (D4)
  • Écosse : Elgin City (D5)
  • Espagne : FC Barcelone (D1), RCD Espanyol de Barcelona (D1), Deportivo La Corogne (D2), Bétis (D1), club obscur de 4ème division
  • Fidji : Nadroga (D1)
  • Finlande : Kultsu FC (D4)
  • France : FC Nantes (L1), RC Lens (L1), OM (L1), Bordeaux (L1), Toulouse (L1), La Berrichonne de Châteauroux (L2), Strasbourg (L2), US Ivry (N3)
  • Grèce : OFI Crète (D1), Panatholikos (D1)
  • Guyane : CSC Cayenne (D1)
  • Italie : Juventus (D2), AC Milan (D1), Inter (D1), Atalanta Bergame Calcio (D1), Correggese (D4), Catanzaro (D3)
  • Japon : Utsonomiya Valentia (Ehime FC) (D2)
  • Luxembourg : Titus Pétange (D1)
  • Malte : Hamrun Spartans (D1)
  • Norvège : Ranheim Fotball (D2)
  • Pays-Bas : FC Utrecht (D1), BVV Barendrecht (D4)
  • Pologne : Piast Gliwice (D1)
  • Portugal : Académica Coïmbra (D1), Boavista (D1), Sporting Portugal (D1)
  • Russie : CSKA Moscou (D1)
  • Tchéquie : Velké Meziříčí (D3), SK Rakovnik (D3)
  • Suède : Astra Frolunda (D4), Kungsängens IP (D4), Kristianstad (D4)
  • St-Marin : San Giovanni (D1)
  • Équipes nationales : Belgique, Belgique U-21, Australie, Autriche, Côte d’Ivoire, Gabon, Ghana, Grèce, Israël, Ouzbékistan, Suède, Uruguay
En beau petit tour d’Europe et du monde 🙂

9 réflexions au sujet de « Test Jeu : Football Manager »

  1. Je suis également un grand fan de FM et ton article retranscrit bien pourquoi la franchise me plait tant ! J’ai commencé aussi sur CM, j’ai même bossé sur un site de fan à l’époque (CM-tech) et j’avais beaucoup aimé l’aspect partage du jeu de ce point de vue : les bonnes tactiques, les entrainements, voir les évolutions de base de données créées par des fans.

    J’ai comme toi de grands souvenirs avec certains clubs moins connus, je m’amusais à en faire des storys que je postais sur des forums. J’ai en tête une longue campagne avec le 1.FC Koln (Cologne en Allemagne), avec un ailier gauche du cru et Pablo Aimar en meneur de jeu qui me faisait gagner la Ligue des Champions après 8 ans d’efforts, sur coup franc. A l’époque, les matches étaient simulés par des mouvements de points/en 2d mais ça restait intéressant à suivre malgré tout.

    Aujourd’hui, je suis resté bloqué à FM 2021 pour des questions techniques. J’essaie toujours d’essorer les versions et d’attendre de vrais changements avant de passer à une année supérieure. C’est la dernière version avec 3 changements (contre 5 aujourd’hui). Je suis actuellement dans une carrière commencé à Cholet (en National) monté en 4 ans en L1, puis 2 ans à l’OM, j’ai ensuite rejoint l’Eintracht Braunschweig, obscur club 2e division que j’ai conduit à la victoire en LdC en 7 ans. Après ce succès, j’ai changé de club, arrivant en Espagne à Carthagène où j’entame ma 4e saison, la 2e en 1ere division.

    Les gros changements de 2025 me font dire que ce sera mon prochain investissement. Merci en tout cas pour ton billet, ça m’a replongé dans plein de moments passés ! 😉

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    1. Haha ! Je savais que tu étais un homme de qualité 😀 Pablo Aimar, toute une époque ça. Cela me replonge à l’époque de l’éternel espoir américain Freddy Adu, typiquement le genre de story FM où le gars devient star mondial dans le jeu, le wonderkind à signer à tout prix et IRL le gars a été l’un des plus grands flops de l’histoire ^^
      En fait, les 3 changements sont restés sur le FM22, il y avait 5 changements pendant 1 an je crois à cause du covid puis ça repassait à 3 car cette règle n’avait pas encore été officialisée de manière permanente.
      Passer de l’OM a Braunschweig, ça a dû être violent nan ? xD Perso j’ai rarement gagné des trophées style League des Champions ou Coupe du monde. Comme je démarre mes parties de très bas, le temps que j’arrive dans un club ayant les capacités de faire qqchose en LDC ça prend du temps et parfois mes parties me lassent et je passe sur autre chose. Ici avec le 24 (en vrai, je te le conseille c’est teeeeeelllement mieux que le 22, alors le 21 je t’en parle pas) je vais tenter d’aller au bout (sur le 22 j’avais gagné l’Europa League avec l’Atalanta et un quart de final de LDC avec le Sporting Lisbonne).
      Ah la 2D c’était quelque chose aussi ça, y en a qui restent toujours sur ce format de match, perso j’y arriverai plus. ça me replonge à mes débuts en 2006 et surtout l’opus 2007 où j’avais emmené mon patelin en finale de LDC, perdue 1-0 contre Barcelone avec mes gars de province, que d’émotions !
      Ravi en tout cas que le billet te plaise, et si jamais tu veux partager tes expériences ou tes stories, je suis amateur 🙂
      Si je me lance sur Youtube un jour, je partagerai mes aventures en parallèle sur le Blog (je réfléchis à un concept mais il me faut du temps et du matériel).

      J’aime

      1. Ah, les JV fantasy, non, pas tellement. De temps à autres, il m’arrive d’y toucher, mais depuis Skyrim, quasiment rien.
        Je joue surtout à des jV comme FM et King Crusaders III le 2, juste avant), un peu de X-COM 2. ce sont les 3 jeux auxquels je joue depuis environ 10 ans.

        Pour cet opus, pour l’instant j’aime bien, mais il faut dire que j’en suis au mois de janvier de la première saison (2024) avec Wrexham…

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      2. Aah Crusaders 2 c’était de longues heures de jeu aussi ça ^^ j’ai le 3 mais j’attends de me procurer les DLC.
        Ah depuis l’an dernier Wrexham c’est THE team que tout le monde veut entraîner 😄 moi j’ai démarré ma Journeyman sans diplôme ni expérience en D4 danoise, y a personne dans les stades mais y a du spectacle ^^

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      3. J’ai tous les DLC de KC III, il y en a qui est sans doute dispensable ( et encore quand on aime le jeu…), c’est Tournoi car c’est redondant sur une épopée.
        J’ai toujours commencé par Wrexham ou Barnet depuis 2007 ou 2008 que je joue au jeu, je prenais également Luton, mais vu qu’il est en première div anglaise, je suis bien moins intéressée.
        Il faudra que j’essaie les danois.

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