Sorceleur, Tome 2 : L’épée de la Providence (Andrzej Sapkowksi), nul n’échappe à son destin !

Informations :

  • Édition : Milady/Bragelonne
  • Parution : 1992 (Pologne), 2008 (France)
  • Nombre de pages :  entre 300 et 400 pages en fonction de l’édition
  • ISBN : Dépend de l’édition
  • Prix : Dépend de l’édition

Résumé :

Geralt de Riv, le mutant aux cheveux d’albâtre, n’en a pas fini avec sa vie errante de tueur de monstres légendaires. Fidèle aux règles de la corporation maudite des sorceleurs et à l’enseignement qui lui a été prodigué, Geralt assume sa mission sans faillir dans un monde hostile et corrompu qui ne laisse aucune place à l’espoir. Mais la rencontre avec la petite Ciri, l’Enfant élue, va donner un sens nouveau à l’existence de ce héros solitaire. Geralt cessera-t-il enfin de fuir devant la mort pour affronter la providence et percer à jour son véritable destin ?

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Andrzej Sapkowski

« — […] Je ne voudrais pas qu’un malentendu s’immisce entre nous. Je suis un sorceleur.
— Je m’en doutais. Et tu me l’avoues comme si tu disais : « je suis un lépreux ».
— Certains, reprit posément Géralt, comparent la compagnie des lépreux à celle des sorceleurs.
— Et d’autres, répliqua en souriant Trois-Choucas, préfèrent celle des chèvres à celle des jeunes filles. Je pense qu’on peut s’apitoyer sur le sort des uns et des autres.
« 

Mes impressions, la rencontre avec Ciri, enfant de Sang Ancien

Couverture :
Il en existe plusieurs. En effet, l’oeuvre n’est plus toute jeune et de nombreuses rééditions ont été faites du côté de chez Bragelonne. Surtout ces dernières années avec la collection Starz, puis le changement de l’édition et le remplacement de la lettre M par celle du B de Bragelonne, puis une belle réédition avec nouvelle couverture, pour ensuite rééidter la chose version série Netflix, pour terminer sur de ultimes rééditions mais cette fois-ci avec des illustrations. Je ne suis pas grand fan de cette politique mais bon, il faut contenter tout le monde et profiter que le vent souffle dans la bonne direction. Notez que la couverture de l’ancienne version Milady est mensongère, car notre amie magicienne, la belle Triss, n’est que mentionnée dans le livre et n’est en aucun cas présente (il s’agit surtout d’une image du jeu The Witcher 2 qui a été pompé à plusieurs reprises pour les couvertures).

« Seules les légendes permettent de perpétuer ce que la nature condamne. Seuls les mythes ne reconnaissent pas de limite au possible. »

Les personnages :
Au même titre que le tome 1, ce recueil de nouvelles met en scène un seul et même personnage : Geralt de Riv. Mutant créé pour chasser les monstres contre de l’argent, Geralt est un sorceleur, un humain coincé entre deux mondes, celui des Hommes et celui des non-humains. Et n’allez pas lui proposer de tuer un humain comme un vulgaire chasseur de prime. Remercié par certains, détesté par beaucoup d’autres, il y aura un combat perpétuel entre vouloir agir pour le bien commun ou ne pas intervenir dans la vie d’autrui même si la vie de personnes innocentes en dépend. Ne souhaitant prendre parti pour personne (d’où sa phrase mythique : « quitte à choisir entre deux maux, je préfère ne pas choisir du tout »), il sera confronté à des choix qui auront leurs conséquences, que cela soit aux yeux des autres ou vis-à-vis de lui-même. D’ordinaire sombre, il est doté d’un humour particulièrement cynique et d’une vivacité d’esprit très affûtée comme son adresse à l’épée, son expérience le sortant souvent de situations particulièrement délicates, qu’il s’agisse des traquenards des cours royales ou des pièges tendus par les monstres qu’il chasse. Le nombre décroissant des sorceleurs et des monstres à tuer ainsi que l’agressivité toujours plus aiguisée des habitants à son encontre rendent Geralt particulièrement désabusé et ce dernier devra réfléchir à la place qu’il devra occuper dans un monde qui n’aura bientôt plus besoin de son engeance.

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Comme pour le tome 1, Geralt sera confronté à de nombreux personnages au cours de ses voyages. Les deux qui reviennent avec insistances sont encore une fois l’ami troubadour Jaskier et l’amour de sa vie Yennefer de Vengerberg. Bien d’autres personnages, plus ou moins importants, que l’on retrouvera plus tard dans d’autres aventures ou non, viendront fleurir les aventures du chasseur de monstre. Parfois amis, souvent ennemis, simple informateurs ou adversaires anonymes, chaque personnage a son rôle à jouer. L’une des forces de cette saga, ses personnages toujours très nuancés, pour qui on ressent tout de suite de l’affect, de l’empathie ou du ressentiment, voire de la haine.

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Il y a beaucoup, beaucoup de personnages dans The Witcher, tout comme dans les livres. Mais heureusement, Geralt reste le centre commun de tous.

Le récit :
Contrairement au tome 1 qui possédait un fil conducteur et une chronologie changeante, le tome 2 est un recueil de nouvelles linéaires beaucoup plus facile à suivre. Pas de prise de tête comme dans le tome 1 et on sent qu’on approche doucement mais surement de la grande histoire qui démarrera dès le tome 3. Ci-dessous vous trouverez les différents textes et leur sujet sans que je ne vous en dévoile de trop pour ne pas vous spoiler mais en essayant de vous en dire suffisamment pour vous donner l’eau à la bouche. C’est parti !

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Les limites du possible
Geralt de Riv rencontre au détour d’une taverne le dénommé Borch, dit Trois-Choucas, accompagné de ses deux gardes du corps, Téa et Véa, deux redoutables zérikaniennes. Après un repas des plus copieux et une discussion forte intéressante entre les deux hommes et notamment sur la position du sorceleur face aux dragons, les voilà tous les 4 en route pour une chasse au reptile volant. Ils rencontreront sur leur route des nobles, Jaskier, des chasseurs professionnels, des Nains et Yennefer. Entre sentiments divergents pour la sorcière, les envies de s’approprier le trésor pour les chasseurs (car il est bien connu qu’un dragon garde toujours un trésor) et des ambitions politiques pour les nobles qui accompagnent la caravane, Geralt ne s’ennuiera pas sur le chemin. Mais ce qui turlupine la bande toute entière, c’est le pourquoi de la présence du sorceleur dans leurs rangs, lui qui ne cesse de répéter qu’il n’a pas l’intention de tuer le reptile.

Cette nouvelle est une suite directe de la fin du tome 1. Lorsque Geralt et Yennefer sont réunis par le « Dernier voeu », Geralt abandonne la sorcière pour des raisons qui lui sont propre et devinez quoi ? Yennefer n’aura pas vraiment apprécié la chose. Des tensions palpables entre les deux viendront ajouter une dose de stress supplémentaire dans une compagnie qui, en plus de n’avoir rien d’amical, a des objectifs bien différents des leurs. Borch et ses zérikaniennes sont également des points d’interrogations tout au long de l’histoire même si on devine que l’homme aura un rôle important à jouer et un lien plutôt étroit avec les dragons.

Borch-Trois-Choucas, Téa et Véa

Éclat de Glace
Nous retrouvons le sorceleur à Aedd Gynvael, où il loue une chambre depuis plusieurs jours avec la belle Yen avec qui il s’est réconcilié depuis les événements de la chasse au dragon. Il apprend que la magicienne rencontre régulièrement un confrère à elle, un certain Istredd, qui fut, et apparemment l’est toujours, son amant. La confrontation entre les deux homme ne tarde pas et chacun exposera son point de vue de la situation. L’un veut épouser la magicienne tandis que l’autre veut vivre avec. Lequel des deux coqs remportera le combat pour le cœur de l’indomptable Yennefer de Vengerberg ?

Un texte sans action aucune (sauf au début), qui aura surtout mis en avant une joute verbale et verbeuse entre deux hommes qui convoitent la même femme inaccessible. Les points de vue des deux parties se valent et l’on se demandera jusqu’au bout quel sera le choix de la magicienne une fois qu’elle sera confrontée à un choix qu’elle ne pourra pas esquiver.

Istredd, un magicien à ne pas sous-estimer. La série Netflix nous montre son passif avec Yennefer et la nature de leur relation.

Le Feu éternel
Geralt atterrit cette fois dans l’une des villes les plus importantes de Redania. Il croisera de nouveau Jaskier qui subit les foudres des dames qu’il courtise et trompe à tout bout de champ. Dans une taverne, ils rencontrent un halfelin (ou un hobbit si vous préférez), Dainty Biberveldt, sauf que le sorceleur découvrira bientôt que le malaise que le semi-Homme ressent face au chasseur de monstre n’est pas naturel. Vole d’identité, placements étranges en banque, achats douteux, menaces de l’Eglise du Feu éternel, Geralt se retrouvera dans une situation complexe où il n’aura pas toujours toutes les cartes en main pour élucider les nombreux mystères qui se présenteront à lui.

Cette fois, le sorceleur ne devra faire appel qu’à son expérience des monstres humanoïdes, et non ses armes, pour découvrir la vérité. Un récit différent qui montre que la vie de chasseur de monstres n’est pas toujours rythmée par les tueries et les combats. Et ce texte montre également le talent de l’auteur à pouvoir exercer différents registres. En effet, religion et commerce auront ici toute leur importance et l’auteur arrive clairement à nous faire réfléchir sur la suite des événements tellement chaque découverte semble improbable et sans rapport avec ce qui est expliqué précédemment. Et puis, mettre enfin les pieds dans une ville comme Novigrad rappellera aux bons souvenirs des joueurs de The Witcher 3.

Pour les connaisseurs, il s’agit de l’entrée en scène de Doudou ❤

Une once d’abnégation
Recruté par le seigneur local, Agloval, pour servir d’intermédiaire entre l’homme et la sirène Sh’eenaz, Geralt échoue à faire accepter à la sirène d’épouser ce dernier, ce qui le rend fou et accuse le sorceleur d’avoir failli à sa tâche et ne le paiera pas. En route depuis plusieurs semaines et la bourse désespérément vide, Geralt et Jaskier doivent trouver une solution. Celle-ci se présente à elle lorsqu’un homme invite l’ami poète à se représenter lors d’un mariage. La renommée de Jaskier les sort du pétrin. Ils rencontreront la barde Petit-Œil, une connaissance du poète depuis de longues années et qui manifestera très vite de l’attirance pour le sorceleur qui comparera cette situation à celle qu’il vit avec Yennefer. De manière assez inattendue, Agloval revient vers le sorceleur pour une nouvelle mission.

Les sentiments du sorceleur seront mis à rude épreuve à cause de la petite barde, et son aventure avec Jaskier près des récifs lui laissera des souvenirs et des cicatrices. Une réinterprétation du conte de « La petite sirène » mélangé à un parfum nacré de cité perdue de l’Atlantide. Un nouvel exemple de l’histoire de Geralt : on sait qu’il s’en sortira, mais on ne sait jamais si la fin sera heureuse ou non. Mais je dois bien avouer que Petit-Oeil m’a un peu soulé à un moment donné.

Essi Daven, dit Petit-Œil, la barde et amie de Jaskier, dont le sort ne sera pas des plus enviables…

L’épée de la Providence
Qu’est-ce que la Providence, si ce n’est une lame à double tranchant ? Geralt longe la forêt de Brokilone, terre des dryades qui attaquent farouchement tout ce qui est humain et s’approche sans autorisation de leurs terres. Porteur d’un message pour leur reine, le sorceleur est conduit dans cette forêt qui n’a rien d’accueillant, et fera face à son destin, la petite Ciri, princesse de la ville de Cynthra et enfant issue du « droit de surprise » lors du passage du sorceleur dans la ville (voir Tome 1). Mais qu’en sera-t-il de cet enfant ? Car si une fille pénètre sur le territoire des dryades, elle ne pourra jamais en ressortir et devra faire partie des leurs pour toujours.

Enfin nous découvrons Ciri. L’une des principales protagonistes du jeu The Witcher 3 se révèle au détour de ce tome 2. Et il s’agit d’une petite peste un peu trop gâtée par sa grand-mère. Le sorceleur, qui ne croit absolument pas au destin, ne voudra pas engager la vie de cette petite dans la vie tumultueuse qu’il mène depuis des décennies. Mais à contrario, le sort que lui réservent les dryades n’est pas plus enviable. Il sera intéressant de connaître les points de vue aussi bien des dryades que du chasseur de monstre, tous les deux des vestiges de l’ancien monde et dont tout le monde souhaite se débarrasser pour de bon.

La première rencontre d’un destin fabuleux.

Quelque chose en plus
Geralt sauve un marchand d’une attaque de bestioles (probablement des goules si on se réfère à la série supervisée par l’auteur en personne) mais est grièvement blessé. Il demande au marchand de le sauver avec ses propre élixirs qui ne fonctionnent que sur ceux de sa profession (les humains en mourraient s’ils y touchaient). Pendant sa guérison, le chasseur de monstre délirera et sera à-demi conscient tout au long du voyage. Ses songes le mèneront à la nuit de Belleteyn (la nuit de Mai) où il retrouvera Yennefer, puis à Cintra où il viendra réclamer l’enfant-surprise (mais le réclame-t-il vraiment ? Lui qui ne croit pas en la destiné), à l’invasion du pays par Nilfgaard face à laquelle il fuit, puis une guérisseuse du nom de Visenna (sa mère ?) pour ensuite se retrouver face à la stèle des mages ayant combattus et perdus la vie face à Nilfgaard. Beaucoup d’informations se trouvent dans ce texte et difficile de dire s’il s’agit de délires ou de la réalité que le sorceleur se remémore pour comprendre que ses choix à l’encontre de la destiné ont eu des conséquences catastrophiques.

Ce dernier chapitre nous propose différents moments de la vie de Geralt, des rencontres improbables et la réalisation de conséquences désastreuses suite au refus de Geralt d’accepter son destin. Ce chapitre, un peu à l’image du délire du sorceleur suite à la prise de son élixir, part dans tous les sens. Mais la fin marque vraiment le début de la grande aventure qui liera Geralt, Cirilla et Yennefer.

Visenna, magicienne, mais également guérisseuse et druidesse. Le destin peut parfois être ironique.

Le destin est une fleur délicate de laquelle il ne faut pas se détourner sous peine de voir tout ce qui vous entoure dépérir. C’est en tout cas vrai dans l’univers du « Sorceleur ».
Ceux qui auront vu la série retrouveront de nombreux personnages bien plus développés par Netflix que dans le livre et, finalement, on comprend le choix de la réalisatrice pour le final quand on lit cette fin.

Probablement l’une des scènes les mieux retranscrites à l’écran par rapport au livre. Et première mention de Vesemir, qu’il s’agisse de la série ou des romans.

Il est toujours intéressant de faire des liens entre les livres, les jeux vidéo et la série, on s’amuse à comparer, à se rappeler où on a entendu tel ou tel nom, se souvenir que tel personnage faisait telle chose à ce moment-là, ceux qui n’ont joué que aux jeux pourront voir l’origine de certains personnages clés,…
Il faut néanmoins rappeler que ce tome 2 marque la fin des recueils de nouvelles car le tome 3 sera la grande histoire qui liera le sorceleur à Ciri (l’enfant de Sang Ancien) et Yennefer.
Un tome beaucoup plus psychologique, qui dénote avec le tome 1 où les coups d’épée étaient légion et où les têtes roulaient plus souvent qu’à leur tour. Même si j’ai eu plus de mal dans ce registre, cela souligne la grande capacité de l’auteur à jouer sur plusieurs tableaux, à développer toujours plus son univers qui sera façonné par le destin, à introduire des thèmes comme le commerce et la religion alors qu’ils étaient inexistants dans le tome 1,… Beaucoup de choses sont abordées et, bien entendu, on ne pourra pas déroger au sujet de « la place du sorceleur » dans le monde actuel. Mais quoi qu’il arrive, on sera toujours fan de Geralt, même si nous ne sommes pas en accord avec ses décisions, ou si l’on souffre avec lui à cause des décisions des autres. C’est aussi ça la force d’une grande saga.

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The Witcher, c’est plus que des livres ou des jeux. C’est entrer dans une saga qui vous marque pour toujours !

« – Sh’eenaz…
– Ne me coupe pas la parole ! Je n’ai pas encore terminé ! Je suis saine, normale et mûre pour frayer. S’il me désire vraiment, il doit avoir une queue, une nageoire et tout ce que possède un triton normal. Sinon, je ne veux même pas le connaître !
Geralt traduisit rapidement en essayant de ne pas être vulgaire. Sans grand succès, car le duc rougit et jura horriblement.
– Salope sans vergogne ! hurla-t-il. Maquerelle frigide ! Trouve-toi donc un hareng !
– Qu’est-ce qu’il dit ? demanda Sh’eenaz en s’approchant à la nage.
– Il ne veut pas avoir de queue !
– Dis-lui… d’aller se faire sécher.
– Qu’est-ce qu’elle à dit ?
– Elle souhaite, expliqua le sorceleur, que tu te noies.
« 

Conclusion

Second tome de la saga polonaise « Le Sorceleur », il s’agit d’un deuxième recueil de nouvelles (à l’instar du tome 1), mais qui cette fois propose une chronologie linéaire (et non plus éparse comme dans le précédent tome, ce qui pouvait perdre l’un ou l’autre lecteur) plus facile à suivre. Un tome beaucoup plus accès sur la psychologie des personnages, des problèmes et dilemmes à résoudre par le verbe et les longs exposés de point de vue philosophique plutôt que par l’épée, ainsi que sur le destin, ses choix et ses conséquences. Beaucoup moins d’action (mais pas dénué non plus), de nombreux nouveaux personnages, des histoires créatives qui introduisent de nouvelles thématiques pour étendre encore un peu plus l’univers créé par l’auteur Sapkowksi, et enfin l’apparition de l’enfant de Sang Ancien, l’enfant-surprise, Ciri dont les nostalgiques des jeux vidéo voudront sans doute connaître les origines de la rencontre entre les deux blancs de cheveux les plus connus de la planète Gaming. Un deuxième tome un peu moins folichon pour moi, avec des problèmes de cœur parfois un peu indigestes mais de bonnes tranches d’humour, qui clôture très bien les petites aventures de Geralt de Riv et ses différentes nouvelles pour nous préparer à la grande histoire qui démarra au tome 3. Et puis, c’est toujours un plaisir de retourner dans l’univers du « Sorceleur » ❤

Note

8/10

Si vous avez apprécié cette critique (ou pas), n’hésitez pas à commenter. Si vous l’avez déjà lu ou si vous avez des questions spécifiques au récit, laissez une trace de votre passage 🙂

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